Créer son site WordPress

WordPress est une plateforme de blog et de publication de contenu. Créer et héberger son site WordPress : une réelle difficulté ?

Créer son blog WordPress

Lorsqu’on débute dans la création de sites, pour héberger son site on peut choisir un éditeur de site hébergé en ligne : cela est gratuit et ne nécessite quasi aucune connaissance technique. Par contre, dès que l’on souhaite paramétrer un minimum le site ou le personnaliser, ces versions en ligne paraissent dès lors trop limitées.

Se tourner vers WordPress est une très bonne démarche dans la mesure où le paramétrage du site n’est pas si technique et où l’on trouve très facilement des solutions en questionnant le service approprié.

Lorsqu’on démarre la création du blog, la procédure est plutôt engageante :

– héberger son site WordPress chez un hébergeur prenant en compte les langages PHP et MySql (ou mieux qui propose une offre spécialisée WordPress, cela vous évite l’installation manuelle)
– choisir et acheter un nom de domaine qui correspond à votre activité ou votre nom de fabrique
– installer WordPress et choisir le thème qui vous correspond (on trouve des thèmes gratuits et payants)
– ajouter le contenu qui mettra en forme le site
– installer les extensions spécifiques à votre activité ou votre utilisation
– sécuriser le compte administrateur avec de bons mots de passe
– sauvegarder régulièrement les mises à jour et les paramètres.

Les variations de thèmes donnent un aspect très ludique et très personnalisé. Il est également possible de choisir un thème de base et de le personnalisé grâce au langage html : mais il faut s’y connaître un peu en langages de programmation.

En ce qui concerne les extensions à installer, les petits codes à entrer pour leurs paramétrages sont simplement à copier et coller dans les espaces alloués à cet effet, nul besoin d’avoir de connaissances particulières en la matière.

Héberger son site

Il est possible d’héberger son site sur un serveur mutualisé : un serveur qui partage ses ressources avec tous les utilisateurs de la machine ; un serveur dédié qui ne bénéficie qu’à un utilisateur unique ; et un serveur virtuel qui fonctionne en réseau et qui est relié à une machine physique.