Nous sommes vendredi! Donc il est temps pour la capsule: « frasques twittériennes ». À chaque semaine(vendredi précisément), je partage la plus belle bourde commise par une compagnie ou personne de renommée via son compte Twitter. La semaine dernière les New England Patriots ont été les premières vedettes de la capsule avec un tweet plutôt mal placé.
Cette semaine, la personne qui a attiré l’attention médiatique pour des raisons peu enviables est le comédien Ashton Kutcher, investisseur dans Uber, le service de transport qui fait fureur surtout aux États-Unis.
Uber a été mis dans l’eau chaude au courant de la semaine quand Buzzfeed a révélé des informations au sujet d’une pratique controversée de la compagnie envers les journalistes. Plus exactement, l’entreprise a essayé de chercher des informations ainsi qu’à espionner les trajets des reporters qui l’avaient critiqué. Le but? Trouver tout ce qui était possible pour les discréditer, d’après ce que ces reporters avancent. Naturellement les journalistes n’ont pas aimé et ont partagé dans un élan de solidarité. Techcrunch, Pando Daily, Business Insider ont tous publié des articles dénonçant cette pratique. Il y a une personne qui n’a pas aimé par contre.
Ashton Kutcher, connu comme acteur mais aussi dans les récentes années comme investisseur dans le Silicon Valley, n’a pas hésité à faire comprendre son mécontentement face aux journalistes via Twitter. Dans une série des tweets et un article sur son site web, Kutcher a fait comprendre qu’il n’était pas très en accord avec cet attaque journalistique envers Uber. Il s’est engagé dans un mini-guerre à coups de 140 caractères sur le fameux réseau social. Il a récolté des critiques, mais maintient toujours son point sur l’éthique journalistique.
Le bilan de la guerre des tweets d’Ashton Kutcher peut être vu sur son compte mentionné plus tôt.
Je vous invite à me suggérer les frasques, gaffes et autres choses très peu enviables commises par les compagnies ou les célébrités via theophile_ sur Twitter. À la semaine prochaine.